Alors je ne dois pas vivre dans un mode parallèle .. en 1998 je me suis payé Bryce 2 (2400 ball) qui était livré (moyennant la modique somme supplémentaires de 2200fr) avec poser 1 la pub mettait en avant que le second avait été développé par le premier pour en amélioré ces "performances" ... et qu'ils avait normalisé l'interface (j'ai pt'être encore une "disquette" avec les info la dessus)
Pour ce qui est de la compatibilité entre les deux logiciels
un fichier mc6 ou pz3 au format P5 et pas plus compatible qu'un Dsa ou Ssb pour D|S
mais un cr2 ou un pz2 ou autre au format P4 Si
Hors le but n'est pas de faire des fichier incompatibles (de plus les fichier DSx) sont souvent local car tributaires des données stockés dans ses fichiers datas..
Alors qu'un pz2 même réduit à la version 4.01 est transportable d'un logiciel à l'autre
- Content manager évolué -> capable d'identifier et de gérer des lots de fichier "Runtime "qu'el que soit leurs allocations dans un ordinateur , partissions, ou disques externes, et de pouvoir maintenir le lien quelque soit la place que les fichiers occupent dans l'ordinateur
- Quand je parle de recadrage ( ou mise a l'échelle) des vignettes : dans daz une image de 256 pixel X 256 pixel est ramené au format d'affichage , dans poser 8 elles sont affichés sans recadrage , if faut donc impérativement, quand on met en place un objet pour les deux plateformes, mettre les thumbnail à l'échelle pour Poser, alors qu'on peut mettre des images plus grandes pour Daz **
les petites icônes surtout au format png posant aussi un gros problème de visibilité quand on utilise un visionneur externe tel P3Do ou Irfan view ou Ac-Dc. car elles apparaissent toujours sur fond noir et rendent la visibilité de l'objet difficile a petite échelles
- Si il est possible d'étendre le bureau de poser sur deux écrans ( je ne parle pas de tirez avec la sourie la fenêtre pour la propager sur deux écrans, ça augmenta la taille des fenêtres mais ça ne permet pas d'ouvrir toutes les fenêtres simultanément . Un vrai positionnement , comme on peut le faire avec tous les produits prévus pour Linux tel que the Gimps , Blender , ou Photoshop ,et bien sur Daz studio .ou les palettes peuvent êtres ouvertes simultanément ( en tout cas un maximum).
plusieurs accès à un objet ;
- le curseur de la souris sur la fenêtre de travail en mode invers kinématic*
avec verrouillages sur tous les joints ( sur poser je n'ai trouvé que ceux sur les pieds ou sur les mains )
- les widget de positionnement ( barre de tache)
- les curseur du panneau parameters
- le tableau de "power pose "
Avec Daz il ne m'est jamais arrivé de perdre un objet.
hier j'ai posé une coiffure sur le "sol " de poser , je ne suis jamais arrivé à la récupérer , elle était visible sur l'écran de travail, visible aussi sur l'e tableau de hiérarchie , dans le tableau de propriétés , mais elle n'existait pas , que les "trimer"( boutons à déplacement longitudinal ou circulaires dont l'usage est de réglé de façon fine une fonction quelconque) ne puisse agir dessus (peut être d'ailleurs j'y ai pensé après coup , était elle Parenté avec le sol ?? à vérifier)
* l'invers kinématic est un système (ça c'est pour ceux qui lise l'article est qui débutent ) qui permet d'inverser la hiérarchie des mouvement , il permet entre autre de pouvoir déplacer un obj lié en l'agrippant
Une main vas pouvoir être déplacée simplement en tirant dessus , et pas en reprogrammant chaque joint (épaules,avant bras bras et main )...
pour améliorer le réglage il est alors possible de verrouiller un ou plusieurs joints de tel façon à ce que l'objet ne propage pas le mouvement sur l'ensemble de l'objet , mais seulement à une section
Dans certains logiciel tel que mon vieux Truspace , on ne peut verrouiller qu'un seul point à la fois , Mais tous les points de l'articulation sont accessibles , sauf si il ne sont plus visibles (et la c'est la galère pour les dégager
)
d'autre seul les extrémités sont verrouillables
- Sur Daz non seulement tous les points( articulations, nodes) sont accessibles, mais en plus il peuvent êtres veroullés simultanément , et il y a une fonction qui permet de modifier la zone d'appuis de l'éffet
au niveau du noeud, au niveau du centre de masse et à l'extrémité , il est même possible (mais j n'ai pas encore fait la manip ) de modifer l'effet de résistance de l'articulation .
pratique pour des objets dont les membres en mode Ik on une facheuse tendance à "s'envoler"
Pour ce point j'aimerais une réponse détaillée de la part de ceux qui savent
quand j'ai affecté une "décoration" à une surface
dans quel format d'affichage doit on être pour en voir le résultat ?
le format d'affichage est t'il global ou s'applique t'ils à un objet en particulier, chaque objets d'une scène pouvant alors son mode d'affichage.
quand aux objets lointais
Je met en place un cyclorama. sur le tableau de décorations la nappe de transparence apparait bien , elle est partielle est n'occupe que le haut de l'image ( ça c'est normal ) , hors l'objet (même en mode maillage) reste invisible dans la fenêtre de manipulation et de contrôle de décoration, en revanche il apparait au rendu mais est totalement opaque ??
il est comme sur TS brice et Daz Caste shadow off ...
Sur Truspace je sais que, quand on est dans certains mode à basse consommation de ressource (travail sur un jeu vidéo) on peu avoir la disparition des fond à partir d'une certaine distance
j'espère que ces prédisions pourrons aider pour me donner des réponses
j'espère qu'elles seront courtes mais capable, si des solution existent, de me permettre ( et pas qu'à moi d'ailleurs) de ne pas passer une vie sur ce logiciel ( il serait alors plus rapide à apprendre le python et de faire son logiciel d'un bout a l'autre
...
** et dire que l'instruction de mise à l'échelle des images existe dans tous les langages de programmation moderne ( je ne parle pas du co.bol ou du fortran
)