Le dernier jour du reste de ta vie

Je présente immédiatement mes excuses à Canal+ et au film éponyme ~ Mais je devais avouer que ça sonnait bien :'D
Aller première du genre en 5 ans, j'avais tenté mais sans convictions un écrit sur le blondinet psycho'papattes répondant au jolie sobriquet de Vevell' et accessoirement vous verrez qu'il est pas si cinglé que ça, enfin qu'à une époque il l'était pas x)

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« Le dernier jour...»

Parce qu'à cet instant là je l'ai entendue me susurrer quelque chose au travers des échos du temps...

Au loin les cloches résonnaient dans la brume qui rendait les hommes si nostalgiques, la brume qui les rendait aveugles et dociles calmant leurs peurs et les maîtrisants en silence. Aucun d'entre eux ne se demandaient ce qu'il y avait au-delà, quand bien même le vent soufflait à en faire tomber les dernières pierres d'édifices ancestraux... Jamais la brume ne partait, jamais un seul être ne posa la question.

Cela fait bien plusieurs décennies que cette ville, ou même ce pays, ce monde, cet univers peut-être, a perdu la mémoire. Personne n'a su ce qu'il s'était passé et ce que nous avions perdu. Nous savons seulement qu'un jour, sans raison, le monde s'était mis à disparaître derrière cet épais brouillard qui devint par la suite notre ciel, notre maison, notre refuge... Notre Dieu contre ce que nous ne pouvons voir et sentir. Il nous protège comme la nuit protège ses enfants.
Cette ville grandit et prospère sans que nous n'y pouvions quelque chose, comme si des gens venus de nulle part arrivaient encore en ces murs effondrés et absents et nourrissaient la ville d'une manière où d'une autre. Cette ville, notre mère qui n'a pas de nom ou qui n'en a plus, qui l'a oublié ou l'a perdu et ne cherche pas dans son passé pour s'en redorer.
Pour beaucoup il s'agit d'une épidémie qui a ravagée les terres de l'Est et nous serions les seuls restants, une communauté devenue consanguine et éthérée à l'image de ce que la religion demande. Nous sommes de bons citoyens et Nous nous plions à la volonté de notre mère la cité, il n'y a pas de différences entre Nous, Nous parlons tous de la même manière et ceux qui ne sont pas comme Nous disparaissent dans les méandres de la nuit, dévorés par le démon que Nous nommons le Malin ou le Terrible, fils de notre mère la cité et de notre Dieu maître du ciel et de la terre.


Il y a des voix dans le temps, nous les entendons, elles nous poussent à la violence contre Dieu ou contre nous même. Beaucoup refusent de l'écouter, de céder à sa force mais certains abandonnent la lutte et font violence contre autrui. Les faibles, de simples êtres insensés qui suivent la voie du Malin camouflé sous les traits d'une jeune fille mourante. Nous finirons tous ainsi si cette minorité ne disparaît pas, mourants comme au temps de l'épidémie qui fit disparaître notre grande patrie autrefois valeureuse !
Cette brume se manifeste de plus en plus et à chaque fois qu'elle couvre notre cité bien d'étranges choses se passent, c'est là l'œuvre du mal. Nous ne souhaitons que l'accomplissement de notre tâche que notre Dieu maître de la terre et du ciel nous a confié, cette brume, quoique maligne, punie quiconque ignore les préceptes alors offerts pour notre salut.
Beaucoup d'infidèles à notre religion fuient dans la connaissance et tentent de nous insuffler un savoir diabolique nous arguant de beaux phrasés et de belles présences pour succomber à cette facilité proscrite. Ceux qui prétendent savoir ont passés un pacte avec le Malin mais un jour nous vaincrons cette hérésie.

« Vergil, XXVIII-VIII-VIII° »

'Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, miserere nobis. Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, dona nobis pacem'

Aucun des êtres qui m'entourent n'est capable d'entendre cette voix comme je l'entend, elle m'envoute et me possède, je l'entend me chuchoter à l'oreille et chantonner tout bas des cantiques d'un autre temps comme si je devais les comprendre... Cette voix s'accroche à ma peau, à mon corps et je suffoque dès que je l'ignore comme si elle faisait partie de moi, je ne peux pas l'oublier, l'effacer ou bien la couvrir. Elle est là, toujours là, même quand je dors...
J'ai tenté par tous les moyens de la comprendre mais nulle ici ne parle d'autre langue que la notre, personne ne vient d'au-delà des murs, personne ne comprend mon calvaire ni même la raison de mes souffrances. Père m'ignore, Mère ne parvient à faire taire mes angoisses et si cela ne suffisait pas... Je sombre dans la folie la plus pure au rythme de ce piano que j'entend si souvent résonner dans les pièces de ce couloir humide et sombre, cette voix me torture et pendant mon sommeil elle guide le moindre de mes faits et gestes et souvent...
Le piano s'interrompt, je vois un homme méconnaissable de sa race, un regard blanc si angoissant et accroché à ce visage agressif. Je ne vois pas clairement son expression mais je sais qu'il m'observe avec impatience, un sourire sévère et largement emprunt d'une violence incomparable à celle d'un homme commun de nos terres ou d'ailleurs. Agenouillé il se redresse, la brume le couvre mais je devine qu'il fait de peu ma taille, une corpulence osseuse effrayante tout comme l'apparence de sa peau si affectée par le temps, lacérée en tout endroit. Un long morceaux de tissus rouge flotte dans le triste vent de cette nuit, je l'entend frapper l'air si sèchement mais ce son fini par être balayé par un triste étrange bruit métallique qui emplit l'air de façon totale... Je n'entend plus le son de ma respiration ni même celui de ce tissus qui claquait, non juste un petit son qui se répète rapidement jusqu'à se faire avaler par le bruit déchirant de l'acier arrachant les pavés de pierres encore au sol...

'BOUCLES-LÀ SALE GOSSE ! J'EN AI ASSEZ DE T'ENTENDRE ! OUBLIEZ-MOI TOUS AUTANT QUE VOUS ÊTES ! JE NE SUIS PAS...'

Sa voix s'écrasait sur chacun des objets de cette pièce rejetant avec cette même violence un écho qui le rendait malade au point de le faire taire. Silencieux il n'était pas calme pour autant et quand il se leva le rêve se terminait de la même manière que dix auparavant. Un simple poing qui brisait le verre du miroir qui reflétait cette vérité si âcre et douloureuse, quelque traces de rouge soulignaient son visage tendu, amer et violent...

'… je ne suis pas ça, je ne suis pas lui ! JE suis le monstre qui vous effraie et rien d'autre ! JE NE SUIS RIEN !'

Ces dernières années plusieurs incidents ont perturbés la relative tranquillité de ces terres, personne ne souhaite vraiment prendre la parole pour la population ni même de tenir les mémoires et pourtant quelqu'un se doit bien de le faire, c'est un devoir au même titre que de lutter contre la noirceur qui a balayée la ville.
Beaucoup succombent à la folie ou à la paranoïa et très peu veulent et peuvent faire face à cet effondrement total.
A un moment il y avait un enfant du pays qui s'était levé face à ce mutisme, à cet obscurantisme qui entourait toute forme de savoir et qui étouffait cette individualité que tous souhaitent ardemment. A lui seul il parvint à aider tout un peuple à respirer mais au moment le plus crucial il du se retirer... Nul ne su s'il avait été abattu par la religion qui voyait en lui un leader tacite pour la population ou s'il avait subitement perdu cette force qui l'animait.
Nous avions tous son nom sur les lèvres et tous nous le susurrions chaque nuits pour l'appeler dans le dos de cette omnisciente et omnipotente force qui était notre justice, notre maîtresse.
Lèves-toi fils prodige et rends nous notre esprit que la folie nous a emporté, nous t'appelons dans la nuit dans l'espoir de te voir brandir avec hargne et ferveur nos rêves de liberté... À toi...

...l'Arkhady

'Oh l'Arkhady, sais-tu que les rumeurs ont la peau dure te concernant ?'

Il y a de nombreuses églises disséminées le longs des rues de la vieille ville, celle qui n'est pas habitée par les hommes, et il arrive régulièrement que des voix résonnent au travers des pierres muettes, silencieuses depuis les siècles. Une voix d'homme torturée s'envole au-delà du ciel et brise l'air de cette mélodie envoutante et angoissante, des échos dans les ruines qui guident les êtres perdus dans les rues hantées de souvenirs et gorgées de sang.
Les rares qui habitent encore là l'entendent souvent se plaindre et gémir sans savoir s'il s'agisse d'un être humain ou de quoique ce soit d'autres. Mais le temps passant maintenant l'on sait que l'Arkhady vient reposer ici et hurler ses nombreuses plaies accumulées au cours du temps. Il se parle, se répond, se rassure à la façon dont une mère l'aurait fait pour son fils chéri... Il n'est plus de notre monde.

'JE sais... Mais je ne suis pas si fou, ils me prennent tous pour cet Arkhady mais ce n'est pas moi.'

Les dernières bribes de ses susurres mélodiques continuaient à flirter sur la pierre glacée de l'église où il se trouvait tandis que sa voix grasse coupait alors l'ambiance gelée de l'instant. Assit il restait face à un pan brisé de vitrail blanc sur lequel son reflet était visible. Un rapide rictus se baladait alors sur ses lèvres avant même d'inspirer ou de vouloir répondre. L'horreur, le sentiment qui coulait dans ses veines et alimentait ce cœur mourant et prêt à répandre sa fierté sous les coups et le sang.
L'horreur, le sentiment qu'il inspirait aux gens qui croisaient son visage mutilé par les griffes de la haine que beaucoup entretenaient à son égard.
Le cauchemar qui avait hanté les légendes de cette ville perdue, noyée par l'angoisse et l'immobilisme, était devenue réelle et si par le passé la religion avait prit soin de faire vivre ces mots par des actes visant à sanctifier son autorité aujourd'hui il n'était plus possible de lier ces disparitions aux agissements de quelques extrémistes, bercés par l'illusion de leur force et ce besoin imbu d'agir au nom de tous pour le bien de tous. De cauchemar intangible nommé Malin ou Terrible souvent cité par les textes comme créature répondant aux ordres du Dieu et père créateur, nous étions à présent passés à cette bête palpable et vivante souvent appelée le Rîda Kurai qui, dans notre langue évoquait toute la force de la peur qu'il nourrissait sans cesse par ses simples balais aériens sanglants et reconnus. Rîda Kurai, l'impitoyable leader d'une ère dont nous n'étions pas destinés à connaître la fin, pas tant qu'il n'y aurait pas moyen de le faire disparaître avec ses créateurs et fous de géniteurs...
Il est une bête qui halète, souffre et gémit en permanence dans la douleur et la peur distillant une frayeur sans nulle autre pareil autour de lui.
Il aime inspirer une peur insondable à quiconque entend parler de lui tout comme il effraye une autorité intouchable...

'Arkhady, es-tu fier de l'image que tu présente ? Toi fils de l'ancien maître tu as perdu une à une les plumes de ton noble ramage préférant alors recouvrir ton corps de honte que de dignité. Seul tu mourra, sans dignité...'

'Je n'ai pas vécu dans la dignité et il est encore moins possible d'y mourir alors lâches moi avec ça'

Arkhady, héritier du nom de Rîda Kurai, l'assassin d'une ville entière, la tumeur qui ne pouvait mourir ou disparaître sans emporter avec lui les âmes de cette ville. Il entraînera la déchéance si quiconque tente de le supprimer...

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Aio !!
Un texte d'Elvan' sur la vie de ce cher Vevell',
O Gioiaaaa ! :'D

J'ai pris le temps de tout lire,
et j'ai vraiment bien aimé !!
Tu as un style très agréable :
C'est sombre, un peu angoissant mais
on te suit sans problème. \o/

Et la phrase en latin donne beaucoup
de "puissance" au paragraphe associé,
je trouve ! *__*

Pauvre chou, tout de même, il n'a pas eu une enfance facile... X(

***
Wolffy, où vas-tu ?
Nan, ce soir, je t'interdis d'aller le tabasser
pour te marrer ! è_é
***

A prestù ! \o/

Ayo' !

Ravie que l'histoire du petit molosse t'intéresse déjà :'D Au départ j'étais bien tentée de la faire pour le fanzine mais si le début est cool et touti quanti je peux pas garantir qu'à la fin ça sera tout publique ~ L'animal étant déjà à lui seul du domaine d'un interdit aux moins de 18 ans alors, sa vie pensez vous xD
Du coup je poste ça ici, vu qu'hier j'étais pas motivée à prendre ma tablette (et aujourd'hui j'ai un peu "plus" envie mais y'a rien qui sort D:) j'me suis dis qu'un coup de textage ça serait touti sympatoche et puis plus je vais bosser dans cette optique plus j'arriverais à me motiver pour faire une "autre" petite plongée dans le passé mais avec Elvan' ~ ^^'
Rah fallait bien une victime et mon choupinou blondinet était disponible alors pourquoi s'en priver franchement ? x)

C'est génial, vivement la suite ^^

J'ai lu ce texte en deux fois. Deux jours différents. Non pas parce que c'est mal écrit, au contraire, mais parce qu'il mérite quand même qu'on s'y attarde un peu pour mieux percevoir ce qui est écrit entre les lignes. C'est bizarre, en lisant, mon cerveau a curieusement situé l'action à Prypiat, parmi d'improbables mutants. Tu es un sacré personnage Elvan', j'aime ta façon de filer de grands coups de lattes dans le fondement de cette société trop bien-pensante. Le soixante-huitard "attardé" que je suis te remercie, rien n'est perdu, et en ce qui te concerne, comme le dit Aragon, la femme est l'avenir de l'homme.

Je vais peut-être dire un florilège de c..bip..bip... mais bon tant pis.
J’ai aussi été accrochée par ton univers brumeux où le plus terrible finit par devenir banal, puis normal. La monstruosité, c’est nous même qui l’engendrons.
Qu’un monstre ait une attitude monstrueuse, bah c’est ce qu’on lui demande.
Par contre de voir comment on devient un monstre, petit à petit, à force de brimades ou d’indifférence, de père absent, de mère inattentive, d’angoisse rongeant comme de la rouille, de société qui marche à l'envers, de religion infantile, je trouve ça plus flippant (mais c’est une affaire de gout). En définitive, l’individu se consolide ou tente de trouver un équilibre, dans une forme de solitude, de monde intérieur qui l’éloigne du commun et dans laquelle il se sent mieux. De son point de vue, il ne s’agit pas d’une monstruosité mais d’une compensation réconfortante.
Par exemple la citation latine, il pourrait la découvrir dans un vieux bouquin trouvé dans un tas de gravas. Au début, il n’y prend pas garde, mais il y revient malgré lui. Il se surprend de la connaitre par cœur alors qu’il n’en comprend pas le sens. Ca l’obsède tellement qu’il découpe la citation et se la colle sur la peau. Et comme ca ne tient pas, il finit par se la tatouer tout seul avec la lame d’un couteau rougit… Et puis pour aller un peu plus profond dans le pathétique de la monstruosité, il pourrait rencontrer dans cette période une fille qui lui plait (ce truc pour montrer sa faible capacité à communiquer ses sentiments et comment il s’éloigne du commun). Un jour, il aime tellement cette fille, qu’il lui va lui montrer un grand secret, l’essence de sa vie. Alors il dégrafe sa chemise et montre avec fierté son tatouage purulent… Ca pourrait faire une très jolie scène d’un romantisme glauque et d’un mysticisme baroque, et pourquoi pas l’amener vers un acte de désarroi et d’incompréhension vraiment violent.
Mais comme toi, je ne suis pas sûre que tout ça soit approprié au fanzine. En tout cas, j'ai hâte de lire la suite ; )

Klo a écrit:

Un jour, il aime tellement cette fille, qu’il lui va lui montrer un grand secret, l’essence de sa vie. Alors il dégrafe sa chemise et montre avec fierté son tatouage purulent… Ca pourrait faire une très jolie scène d’un romantisme glauque et d’un mysticisme baroque, et pourquoi pas l’amener vers un acte de désarroi et d’incompréhension vraiment violent.

Un florilège de c..bip..bip... ? My ass ouais, ce que j'adore chez toi Klo' c'est que tu mets le doigt sur tout. Si j'étais pas aussi certaine de moi concernant mes écrits je pourrais presque croire que je suis hyper prévisible tant tu lis la chose avec cette netteté effrayante et agréable. Dans un axe bien précis tu as vu juste concernant cette incapacité à s'exprimer sur plusieurs relations ce qui va le conduire à un geste fort regrettable qui va le hanter et le former à la fois.
Pour ce que tu exprime dans ton poste concernant notre société plus monstrueuse que ce que nous nommons monstre, il y a de cela aussi bien que je vise plus gentiment la religion et le conformisme brut en premier lieu mais qui fait tout ceci ? L'homme en général et son incapacité à faire front à ce qu'il ne comprend pas/n'est pas comme lui.

Finalement l'obscurantisme qui semble si floue dans l'histoire s'est propagé jusqu'à aujourd'hui et si il ne fait pas disparaître un pan entier de l'histoire d'un continent il se contente allègrement de faire disparaître des civilisations minoritaires et d'une liberté personnelle devenue, elle aussi, floue.



@Christian : Nyahou ! A force de me complimenter comme ça je vais plus savoir quoi dire D:

Hop la shuite s'il vous plaît :'D
Ichi
J'ai également ajouté la suite au post d'origine.
je trouve ça plus cool de pouvoir lire un texte comme on le veut sans avoir à se flinguer les yeux D:

Ce n'est pas du Marie-Henri Beyle mais le rouge et le noir tu aimes çà hein ? Tant mieux, nous aussi. Tu arrives à immerger le lecteur dans ton univers en décrivant avec soin le monde malsain dans lequel évolue ton perso. On s'y croirait, çà pue le salpêtre et si ton texte était plus long j'en aurais presque chopé un rhume dans les courants d'air qui balaient la vieille église.
Très fort. Tu m'épates de plus en plus Elvan', mais j'avoue que parfois tu me fous les jetons aussi.

En rouge et noir, ça serait une bonne façon de décrire ma garde robe et bien d'autres choses chez moi ^^'
Après peut-être que le fait que j'ai fais beaucoup de RP dans cet univers aide énormément dans la rédaction, d'autant plus que le nabot je le pratique depuis 6 ans de façon régulière et que son histoire est la plus "fantasy" de toutes les autres. Un côté cyberpunk/steampunk que j'affectionne énormément. Faut croire que les textes de Lovecraft ne sont pas restés là-haut à faire la sieste xD

Demie suite avec trois/quart de phrases en plus histoire de ~ Làlàlàlà

Foutre les jetons c'est un passe temps apprécié par ledit nabot :'D

Je ne rajouterai rien sinon tu vas dire que je me répète.
Juste un truc assez rare chez moi, j'ai imprimé la chose, jusqu'à présent seule l'histoire d'un certain vampire y avait eu droit. Vous allez me ruiner en encre les filles !

Ah ! \o/

Décidément, je suis sur ton disque dur via je-ne-sais-plus-quelle-image (ah si une page de Faith) et maintenant tu imprimes mes âneries 8D
Un jour je finirais par perdre la tête et tu l'affichera sur ton mur xD

*euuuuh*

Hop up', j'ai édité le premier post, fini le prologue et commencé un hypothétique chapitre 1 :

J'ai jamais autant carburé sur quelque chose xD

Ben dis-donc, c'est fou ce qu'il y a foule pour commenter la chose.
Je trouve que tu devrais tenter une chouette illustration de ton perso en fonction de la dernière description que tu en fais. Ce qui est assez drôle c'est qu'en lisant le texte on s'imagine assez ce que cette illustration donnerait avec ton style de dessin si particulier.
Pour le reste, je ne me répéterai pas encore sur ce coup là.
C'est sombre mais c'est bien vu.

Hé hé, hey ouais c'comme ça j'ai un fidèle admirateur et une admiratrice qui veillent (même si elle ne peut pas poster, elle veille 8D) ce qui suffit amplement à mon bonheur. J'm'éclate bien à le faire, ça m'occupe sympathiquement donc j'en demande pas plus :3

Bref ouais j'avoue faudrait que j'y pense histoire de bien le rendre torturé, ça doit être sympa D: Pis dessiner mon Vevell' dans des positions bizarres ♥ (Quand j'aurais un peu de temps, paske là déménagement et tout... Pwaaaah)

Semaine chargée à Pasteur.
Pas eu le temps de lire tout le texte, jusqu'à présent.
(Ce n'est pas l'envie qui me manquait pourtant !)
mais voilà qui est corrigé ! \o/

Le prologue est très sombre avec un bon rythme,
oppressant à souhait ! J'aime beaucoup la scène
dan la vieille église.
Le début du chapitre 1 s'avère chargé en hémoglobine,
mais j'ai déjà hâte de connaître la suite.

(De toute façon, dès qu'il est question de Vevell'...*w* )

Comme Christian, je verrais bien des images
de ta patte pour illustrer tes propos !

Citation :

Pis dessiner mon Vevell' dans des positions bizarres ♥

aioo !!!

En tout cas, continue ainsi, Elvan' !!! \o/

Juste une petite critique: 'bah... j'ai franchement du mal avec ton format de partage de fichier.
(Aaaaah, c'est à mon tour de râler à ce sujet ! )

@ Christian:

Citation :

Juste un truc assez rare chez moi, j'ai imprimé la chose,
jusqu'à présent seule l'histoire d'un certain vampire y avait eu droit.

avà ? ...

Flicky a écrit:

Juste une petite critique: 'bah... j'ai franchement du mal avec ton format de partage de fichier.

Ah ? Tu as un soucis avec le format ? Au pire je pourrais le changer plus tard pour un plus classique (quoique c'est un RTF, je pensais que la plupart des éditeurs de textes le lisait D: My bad)

Ah ah bon apparemment je vais y passer, le Vevell' est définitivement pas assez célèbre à son goût et me demande d'y remédier, mais pas ce soir... Ce soir c'est chinois *____*
Pis c'est aussi que demain Bac Blanc d'Espagnol à 8h30 D:

En fait ce n'est pas le format qui me pose des soucis,
mais l'interface même de téléchargement.
Des fois, je peux récupérer le fichier,
et des fois non... mais heu,
c'est peut-être moi qui ne suis pas très douée !

Citation :

Ah ah bon apparemment je vais y passer, le Vevell' est définitivement pas assez célèbre à son goût et me demande d'y remédier

Mon cher Freidrich fait preuve de la même impatience, en ce moment.
Hélas, il va devoir patienter encore un peu ! ^^"

Aio, je te souhaite un bon chinois...

Et bon courage pour ton exam de demain.
I trust in youuuu ! \o/

(Bac blanc d'espagnol, la Terminale S
Anghjuva, ça remonte à loin pour moi... ;__; )

Bonsoir Elvanthyel !

J'ai du mal !

Autant je suis fan de tes dessins, et autant j'ai du mal à accrocher à ton texte !
Je n'aime pas être négative sans explications mais il y a beaucoup à en dire, et la "critique" d'un long texte n'est pas aussi immédiate que celle d'un dessin... ça ne saute pas aux yeux... il faut "analyser le code" à la manière du code de la "matrice"... c'est pourquoi je ne vais pas me lancer ici et maintenant dans cette démarche !

Si tu le désires, si acceptes les critiques pas forcément plaisantes, et si les textes ont, pour toi, la même importance, ou plus d'importance ? que les dessins, dis le moi... J'essaierai de trouver le temps pour te rédiger une analyse que je t'enverrai en MP...

Cho' ^^'

Ca arrive ! xD

Personnellement concernant mes écrits je suis vachement plus détendue, c'est d'avantage un passe temps qu'un truc que j'ai besoin de "donner" pour que ça plaise. C'pour moi plus pour d'autres. Une sorte de besoin compulsif en gros x)
Après c'est sûr qu'avoir un œil extérieur est agréable et si tu n'es pas trop occupée je suis absolument pas contre une critique (même pas forcément plaisante, si ça peut rendre le tout plus cohérent et agréable :3)

Merci d'avoir proposé ton aide :'D

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Han DAWG D: N'empêche je dois avouer quelque chose... C'trop mal agencé textuellement parlant ! XD Pourquoi personne ne me l'a dit avant ?

Elvanthyel a écrit:

Han DAWG D: N'empêche je dois avouer quelque chose... C'trop mal agencé textuellement parlant ! XD Pourquoi personne ne me l'a dit avant ?

Et pourquoi devrait-on systématiquement employer le style académique cher à nos enseignants qui nous ont cassé les burnes pendant des années ?
Sommes-nous si formatés que ça ?
Quand je lis un bouquin c'est pour m'évader, si celui qui l'a écrit est un ovin qui bêle pendant 300 pages le bouquin dégage dans le bac jaune avant la fin du premier chapitre.
Alors c'est sûr, suis leurs conseils jusqu'à ce que tu arrives au bout de tes examens, dans la vie il faut savoir être hypocrite de temps en temps, et gardes en toi ce côté absurde et un poil déjanté qui est très agréable. Quand les "Elvan" auront une cloche autour du cou et iront avec les autres dans les alpages, le monde sera bien tristounet.